понедельник, декабря 25, 2006


Ce blog est mal nourri, on va bientôt voir ses côtes, et j'ai récemment envisagé l'idée d'abréger ses souffrances. Néanmoins, je me sens l'âme gonflée de pitié en ce jour de Noël...Il est temps de souhaiter à tous ceux qui lisent ces lignes des fêtes de Noël ardentes et (heu...) joyeuses.
Je me reprendrai pour la nouvelle année, plus inspirante, car pleine de promesses en général rapidement non-tenues. Pour l'heure, je ne suis que perplexité face à une existence que je vois s'installer dans l'absence d'écriture. Mes nouveaux poèmes sont particulièrement nuls, et mon roman n'avance pas. Les deux semaines dernières ont d'ailleurs été placées sous le patronnage de Sylvia Plath, non pas pour en imiter la trajectoire (loin de moi, très loin de moi) mais pour en faire résonner le souci permanent...L'entendre dire sa fatigue, son désarroi face à sa double carrière de mère et de poète...Son angoisse, je la ressens souvent je crois.
Should I stir, I think this pink and purple plastic/guts bag would clack like a child's rattle (...)