вторник, сентября 26, 2006


On a dit que c'était de l'actualité culturelle, je ne parlerai pas de Fanny Ardant à la cinquième salle dans La Maladie de la mort parce que c'était la semaine dernière... Même si bon, c'est très tentant de se moquer dans le cas qui nous occupe, non pas de Fanny Ardant (non non certes), femme au carré, archétype du méta-féminin, affublée pour la bonne cause d'un petit canif luisant promené le long du corps (diva wannabe, souffle rauque et corde raide), mais bien du texte de Marguerite Duras. Il est évident que late Marguerite payait ses impôts éhontément avec ces ressassements liquoreux et hypocrites.
Je n'ai pas besoin de vous faire un dessin ("vous vous dîtes qu'elle est belle, vous vous couchez dans sa touffe humide, elle vous dit que vous êtes malade, elle se rendort"...le reste à l'avenant), tout le monde connait la Duras des bons jours, et la Duras des mauvaises nuits...

Je vous parlerai des Tiger Lilies, à l'Usine C, quand je les aurai vus, ce qui ne saurait tarder,
en attendant...